Soul Kitchen

5 QUESTIONS À … INNVIVO

Innvivo
Guimauve 28/01/2019

5 questions à … Innvivo

SK* a demandé à une soixantaine (et plus) d’artistes appréciés par les membres de l’équipe de répondre à cinq questions très simples avec leurs morceaux commentés du moment, nouveaux ou anciens. Voilà le tour des bordelais d’Innvivo qui sortent leur troisième EP, Pays Sage accompagné d’un clip, L’escrime de l’estime en exclusivité sur SK*.

Innvivo en cinq questions

Votre souvenir de concert ?

La Release Party de notre EP L’Or du Monde au Block (Bordeaux). On avait invité la danseuse présente dans notre clip La comédie humaine ainsi que plein d’excellents musiciens qui ont mis le feu à ce concert! Le public était bouillant. À la fin de la soirée, on a du arrêter le son pour le tapage nocturne mais le public est resté, a fait un grand cercle et s’est mis a taper des rythmes, chanter et improviser des pas de danses au centre du cercle. C’était magnifique de vivre cet instant.

Innvivo – La comédie humaine

Votre rencontre en tournée ?

On a eu la chance de rencontrer les rappeurs suédois Trainspotters sur un de nos concerts ! c’était vraiment une rencontre formidable et instructive. A la fin de nos concerts respectifs, on a fait une impro sur un thème de Vulfpeck !

Votre anecdote dans le van ?

Lors du tournage du clip L’escrime de l’estime au mois de juillet, on a crevé en plein milieu du désert. Il faisait 47 degrés à l’ombre. Il n’y avait pas d’ombre… et on a attendu de voir passer un couple en camping-car pour avoir un cric et pouvoir changer la roue. Après ça, il nous restait deux jours de tournage durant lesquels on a roulé à 5km/h pour trouver les spots sympas.

Votre nouvel EP en quelques mots ?

C’est à la fois un regard sur le paysage social actuel et un clin d’œil à ce que certains appellent la « Génération Y » ou les « Digital Natives ». La création de cet album est très inspirée des musiques 8bit des jeux vidéos rétro et, plus globalement, de tout ce qui nous a touché dans les années 90.

Votre prochain rêve ?

Tourner le plus possible dans le monde, rencontrer une multitude de personnes, échanger et grandir.

Innvivo – L’escrime de l’estime

En écoute avec Innvivo :

  1. IAMDemain c’est loin
    IAM est une de nos premières influences ! Ce morceau est incontournable, puissant de vérité, de sincérité et de rage.
  2. Oxmo PuccinoArtiste
    Ce morceau est énorme ! Il y a dedans beaucoup de sagesse sur le métier mais présentée avec beaucoup d’humour et d’esprit. le texte est magnifique et l’instru défonce !
  3. Jacques Brel Ces gens là
    Ce texte et l’interprétation de ce texte m’ont touché au plus profond et m’ont donné envie d’écrire des chansons.
  4. GorillazFeel Good Inc
    Ce projet est tout simplement génial. La musique à elle seule est déjà parfaite, mais l’univers graphique qui l’accompagne fait de Gorillaz un projet unique à mes yeux.
  5. The RootsEssaywhuman
    Un des groupe qui nous a tous influencé dans Innvivo. Ce morceau en particulier a été une référence car on adorait ce jeu de question/réponse entre le rap et les instruments. C’est un jeu qu’on a beaucoup pratiqué entre nous.
  6. Vulfpeck Beastly
    Notre référence en terme de groove et d’énergie.
  7. Gaël Faye ft.Flavia CoheloBallade brésilienne
    Gaël Faye est une de nos références en terme d’écriture, mais ce morceau en particulier, respire l’élégance et la quiétude.
  8. Orelsan ft.IbeyiNotes pour trop tard
    Ce morceau m’a énormément touché. J’ai la chair de poule à chaque fois que je l’écoute.
  9. Watsky Don’t be nice
    Le flow de Watsky est monstrueux. Et il y a dans ce morceau un gros break rap/batterie tout simplement génial ! Le clip est super aussi !
  10. BjörkJòga
    Une de nos chanteuse préférée. Ce morceau est magnifique, et sa manière de produire les batteries avec pleins de glitchs et d’autres sons étranges nous a beaucoup influencés dans la direction artistique de Pays Sage.

Plus d’infos sur la page facebook d’ Innvivo.

Invivvo

Tracklist : InnvivoPays Sage

  1. L’escrime de l’estime
  2. Pays Sage
  3. Grêle
  4. Y monde
  5. Saccharose
Lyonnais qui revendique sa mauvaise foi car comme le dit Baudelaire, « Pour être juste, la critique doit être partiale, passionnée, politique… », Davantage Grincheux que Prof si j’étais un des sept nains, j’aime avant tout la sincérité dans n »importe quel genre musical…

 

Pays Sage dans les Oreilles Curieuses

Innvivo – Pays Sage

Après avoir quitté les influences jazz de son ancienne formation, Hugo Raducanu a décidé dans une autre aventure musicale avec Innvivo. Son mélange entre électro et hip-hop avec une pointe de chanson française avait réussi à leur faire entretenir un buzz avec un EP plutôt authentique. Cette année, le groupe bordelais récidive avec son successeur intitulé Pays Sage.

Composé de cinq titres, Innvivo continue sur sa lancée en rendant hommage aux enfants du numérique et les conséquences sur la mondialisation de ces dernières décennies. Entre les textes précis et riches en rime multisyllabique d’Hugo Raducanu et les instrumentations aussi bien organiques qu’électroniques concoctées par Mathias Monseigne (guitare), Clément Laval (guitare, synthés), Louis Gaffney (basse, synthé basse) et Didier Bassan (batterie, séquenceur), le tout se complète plutôt bien avec « L’escrime de l’estime » mais encore « Grêle » et « X monde ». La fusion entre Jacques Brel et Oxmo Puccino se fait sans problème même si cela tombe parfois dans le cliché sur « Saccharose TE » par exemple mais cela n’empêche pas pour Innvivo de rester dans l’air du temps.

Note: 7/10

Dans la playlist de Froggy’s delight

Innvivo Pays Sage (Ping Pong, mars 2019)

Place au rap et à l’électro avec le groupe Innvivo et son EP constitué de cinq titres, Pays Sage. Invivo, c’est une plume poétique empreinte de chanson française à laquelle se mêle l’influence du hip-hop et de la musique électronique.

Innvivo s’appuie sur les textes de Hugo Raducanu, un ancien batteur issu du jazz et du hip-hop, dont les influences puisent auprès d’artistes comme IAM ou Oxmo Puccino. Pays Sage est un hommage aux enfants du numérique et un regard sur ces décennies qui ont vu naître une mondialisation aussi fantastique que dangereuse.

https://www.froggydelight.com/article-21846-3-King_Child_MOUSE_DTC_Innvivo.html

MAXOE

Innvivo : Le clip ‘L’escrime de l’estime’ extrait de l’EP ‘Pays Sage’

Une plume poétique empreinte de chanson française à laquelle se mêle l’influence du hip hop et de la musique électronique, c’est dans cette esthétique hybride qu’Innvivo évolue.

Autour des textes de Hugo Raducanu ancien batteur issu du jazz et du hip hop, dont les influences littéraires puisent autant dans la poésie d’IAM et d’Oxmo Puccino que celle de Brel.

Après deux EPs en 2015 et 2018, le groupe revient avec « Pays Sage« , un hommage aux enfants du numérique et un regard sur ces décennies qui ont vu naître la Mondialisation aussi fantastique que dangereuse.

Le clip ‘L’escrime de l’estime‘ extrait de l’EP est à découvrir ci-dessous, et le tshirt porté par Innvivo ne manquera pas de rappeler des souvenirs à certains d’entre vous ; petit clin d’oeil à MaXoE64.com 😉

INNVIVO chez la Parisienne

RENCONTRE PARISIENNE AVEC LES BORDELAIS DU GROUPE INNVIVO !

Publié le par Steph Musicnation

Rencontre Parisienne avec les Bordelais du groupe Innvivo !

Pouvez-vous présenter Innvivo à nos lecteurs ?

Hugo : Notre projet musical est influencé par le Hip-Hop, le Rap, la musique urbaine mais également par le Groove, le Funk et la littérature française ; c’est pourquoi nous disons que nous faisons de la chanson Hip Hop. Il n’y a que de vrais musiciens dans la formule complète d’Innvivo ; Louis Gaffney joue de la basse, Didier Bassan de la batterie, Mathias Monseigne de la guitare et dernièrement, nous avons monté une formule réduite du projet en duo afin d’intégrer Thomas Carreteroqui vient faire du dessin numérique en live car en ce moment, les concerts se passent beaucoup plus sous la forme de concerts dessinés. Clément Laval joue du synthé, de la guitare acoustique et de la guitare électrique et moi-même Hugo Raducanu, je chante, je joue de la batterie et des percussions.

Comment le groupe s’est-il formé ?

H : C’est un groupe de copains. Nous nous sommes tous rencontrés globalement vers nos 19/20 ans au sein de nos études musicales. Nous avions un local à disposition pour répéter et nous nous sommes mis à y faire des sessions régulières. Innvivo est né ainsi en 2010.

Clément : A cette époque, nous ne faisions pas du tout la même musique. Nous étions plus dans l’improvisation et le Jazz car ça correspondait à nos études musicales.

Rencontre Parisienne avec les Bordelais du groupe Innvivo !

Comment voyez-vous votre évolution depuis la parution de « L’Or du Monde » en 2015 ?

H : Comme je suis batteur de formation, je jouais de la batterie sur ce disque et je n’avais vraiment pas la prétention d’être chanteur et de me mettre devant ; c’est aussi pourquoi nos textes étaient très courts, c’était presque un prétexte pour faire de la musique instrumentale. Nous avons rencontré Louis et Didier qui est devenu le nouveau batteur et cela m’a permis d’avoir plus de place pour écrire des textes ; chose que j’avais envie de faire. « L’Or du Monde » est un peu une photo de cette époque de changements. J’ai commencé à faire des textes un peu plus longs mais nous avions encore beaucoup cette culture du jeu par l’instrument. Dans les premiers temps, le groupe The Roots a beaucoup influencé Innvivo car il jouait avec de vrais instruments et ça nous plaisait.

C : Nous écoutons beaucoup de musique instrumentale, moins de musique produite, même si nous écoutons des beatmakers qui sont très présents dans le Rap et le HipHop.

H : Nous avons enregistré notre premier EP dans un studio avec un technicien son qui ne faisait pas partie du groupe alors que pour le second, nous avons commencé à faire tout en autonomie. C’est Mathias qui a fait les prises et le mixe.

: Nous avions confié le mastering à quelqu’un dont c’est le métier mais il était en relation avec Mathias et d’ailleurs, cette période a été très formatrice pour lui. Nous, ça nous a permis de commencer à « bidouiller » la prod, de nous familiariser avec les logiciels, les effets post-prod…Ce deuxième EP était un peu une sorte de labo, il était transitoire car nous sentions que nous allions vers quelque chose. Nous avons très vite embrayé sur « Pays Sage » qui est plus produit.

H : Jusqu’à présent, nous n’avons pas fait plus musique assistée par ordinateur qu’avec ce troisième EP.

Pouvez-vous expliciter le titre de votre nouvel EP ?

H : Au début, cet EP aurait dû s’intituler « Paysage ». Nous avons voulu inclure dans le titre de l’EP une petite notion sociopolitique mais de façon subtile avec légèreté. Nous avons coupé en deux le titre initial afin de dire de façon sarcastique que nous sommes un pays sage. On retrouve deux degrés de lecture : pays sage dans le sens pays un peu contrôlé et également, le fait de se croire d’une grande sagesse car nous sommes un pays développé et on peut donc commencer à expliquer aux pays non développés comment se comporter au niveau mondial.

Rencontre Parisienne avec les Bordelais du groupe Innvivo !

Pouvez-vous nous en dire plus sur la pochette l’illustrant ?

Thomas : La pochette découle du clip « L’Escrime de L’Estime » dans lequel on oppose le désert et une sorte de ville colorée qui est dessinée. Par rapport au titre de l’EP, on montre une ville construite de manière très propre, très colorée et très lisse comme des Lego. Il y a quelque chose de l’ordre de l’enfance, c’est alléchant mais avec le titre, on se demande ce qu’il y a derrière.

De quoi parlez-vous sur « Pays Sage » ?

H : Les textes parlent beaucoup de la génération 90, des jeux vidéo retro, de la mondialisation…Pour souligner ce fond, nous avons opté pour une forme très numérique et digitale.

Vos influences principales pour l’écriture viennent-elles plus du Hip Hop ou de la littérature car il y a un vrai soin apporté aux textes ?

H : Merci ! C’est certain que les influences viennent d’abord de la littérature ou même de la chanson populaire. Brel, Noir Désir ou Bashung sont les premiers à m’avoir fait rêver au niveau des textes. En ce qui concerne la littérature, je ne suis pas spécialement un gros lecteur et je pense que Clément l’est plus que moi car nous avons beaucoup échangé sur des romans. En tout cas, « 1984 » de George Orwell et « La Horde du Contrevent » d’Alain Damasio m’ont beaucoup inspiré. Dans « La Horde du Contrevent », il y a un troubadour qui s’appelle Caracole et qui maitrise la langue et j’ai trouvé que l’on pouvait faire un gros rapprochement avec les rappeurs et les MCS car ils jouent aussi avec les rimes, les mots et la syntaxe afin de provoquer quelque chose de rythmique et de viscéral chez l’auditeur. Avant de lire ce livre, j’avais l’impression d’être un peu en décalage entre le rap que j’aimais et la littérature que j’appréciais. J’avais du mal à me sentir légitime d’avoir ces deux influences que je ne trouvais pas forcément très proches dans un premier temps mais ce livre m’a totalement décomplexé.

Rencontre Parisienne avec les Bordelais du groupe Innvivo !

A quoi invite la musique d’Innvivo ?

C : Elle invite à être contemplatif et à regarder le monde qui nous entoure. Nous nous posons des questions mais nous n’obligeons pas les gens à se poser les mêmes questions que nous. Nous écrivons des chansons car cela nous fait du bien et nous sommes contents si les gens qui nous écoutent sont un peu dans la même transe que nous.

H : Il y a plusieurs formes d’écoute. Lors d’un concert, je pense que c’est compliqué pour le public d’attacher son attention sur les textes. Les conditions du live ne favorisent pas forcément le fait que la voix ressorte bien et puis les gens peuvent être dans un mood où ils vont plus se focaliser sur les rythmes…C’est autre chose que d’écouter le disque dans son salon.

: Les concerts dessinés amènent une narration. Mes dessins sont très rapides, ils sont faits en 5 minutes le temps du morceau et cela apporte quelque chose d’un peu naïf qui fait sourire et qui ironise un peu sur la situation qu’Hugo décrit et qui peut être plus grave.

: Personnellement, je trouve qu’Hugo a une façon très métaphorique d’écrire et cela permet diverses interprétations et donc différents niveaux de compréhension.

Peut-on retrouver quelque part les dessins réalisés par Thomas durant vos concerts ?

T : Non car ces dessins sont éphémères. Nous parlons de dessins mais ils sont réalisés sur un logiciel d’animation. J’ai cinq images qui tournent comme un GIF durant un morceau un peu à la manière de loops.

Rencontre Parisienne avec les Bordelais du groupe Innvivo !

Avec quels artistes aimeriez-vous mêler votre univers ?

H : Il y en a des tas ! Pour en citer quelques-uns, nous te dirions Gaël Faye, Orelsan, Lomepal, Casseurs Flowters, Hippocampe Fou, Odezenne…C’est une génération d’artistes que nous respectons énormément.

: Ils utilisent le Rap et le Hip Hop pour s’exprimer mais ils ne correspondent pas du tout à l’archétype du rappeur et ils n’en jouent pas. Ils s’assument d’en avoir écouté quand ils étaient adolescents, le Rap est leur papier et leur stylo mais ils ne vont pas en faire par rapport à un milieu qu’ils ne connaissent pas. Ce n’est pas du Rap ghetto ni egotrip.

Quels sont vos prochains projets ?

: Nous commençons à penser aux prochains clips.

C : La matière est là sur cet EP mais nous ne nous arrêtons pas. Nous pensons déjà à l’après car nous avons bien compris qu’il ne s’agit de défendre un objet, arrêter d’en créer avant de revenir avec un autre projet.

H : Nous sommes tous d’accord sur le fait que les prochaines productions seront moins réunies sous la forme d’EPS ou d’un album mais qu’elles sortiront de manière individuelle et qu’elles seront toutes mises en images.

 

Long d’une Seconde – Innvivo

SORTIE NUMÉRIQUE & RELEASE PARTY

Long d’une Seconde, le nouvel EP de Innvivo est désormais disponible. Il décante une série de songes dérivant à la fine frontière de l’enfance et de l’âge adulte. Génération en pleine révolution, syndrome de Peter Pan, voyage sans retour, chargé d’inquiétude mais aussi de lumière et d’épanouissement… Nourris de cette aventure subliminale, le groupe propose ce carnet de fables situé entre la chanson et le rap.

Une plume poétique empreinte de chanson française, de textures sonores, et d’équivalences rythmiques influencées par les grands courants américains. C’est dans cette esthétique hybride que INNVIVO propose Long d’une Seconde et nous invite à trébucher, à danser, sur cette idée que le temps n’est pas ce que parfois on imagine, une sorte de ligne régulière et stable, juste des espaces où l’on dessine nos vies comme on construit des châteaux de sable.

Après avoir fait trembler les cales de l’IBoat pour fêter ça, le groupe a maintenant envahi la toile afin de vous permettre d’écouter et d’acheter ce nouvel opus sur toutes les plateformes de streaming et de téléchargement  telle que Itunes, Google Play, Spotify ou Deezer.

L’Aurosmose d’Atrisma

Atrisma a sorti le 26 Mai son premier album « Aurosmose ». Vivant l’instant présent, comme si chaque jour était un commencement, la démarche artistique du groupe se caractérise ici dans la prise de risque, le désir de s’abandonner et de se livrer ensemble, toujours au service de la musique. Et ce, sans jamais renier les imperfections mais au contraire en assumant de manière honnête et en retranscrivant la musique telle qu’ils la ressentent.

 

Starouarz – La force est avec Edmond Bilal Band

Starouarz c’est le nouvel album bourré de vitamines que sort le jeune quartet en vogue dans la jazzosphère, Edmond Bilal Band. Accompagné du groupe Atrisma, qui assurera la première partie, Edmond Bilal Band se produira au Rocher de Palmer le vendredi 30 juin lors d’un concert de sortie d’album unique.

Happés par la volonté de créer un jazz novateur et audacieux, ces quatre amis sillonnent les routes des plus grands festivals et raflent tous les prix (Bucarest International Jazz Compétition, Concours National de la Défense Jazz Festival, Jazzaldia…). Starouarz provoque un voyage qui s’improvise sur des chemins de traverse. Entre violence et douceur, puissance et émotion ce périple impromptu se peint en clair-obscur.

Starouarz, Top 10 des Inrocks

Starouarz, le dernier album du Edmond Bilal Band est dans le top 10 des albums jazz à écouter avant la rentrée selon un article des Inrockuptibles.

« On a d’abord cru à un groupe breton (le z en fin de titre) avant de percevoir la référence et de s’en inquiéter un peu – usé, Star Wars, non ? A l’écoute, tout s’est arrangé et on a mieux compris où l’on posait les pieds. Ou plutôt où on ne les posait pas, puisque c’est l’apesanteur qui domine dans cet espace sans cesse agrandi aussi bien par l’emploi du synthétiseur et les fusées de saxophone que par les heurts et silences de la rythmique. L’ensemble est assez fluide et dynamique pour échapper aux clichés auto-complaisants d’un certain jazz-rock et, finalement, c’est bien volontiers qu’on revient à ce Starouarz sans Bretons – le groupe est bordelais – ni Edmond Bilal – aucun musicien ne porte ce nom –, mais assurément situé du bon côté de la Force. »
                                                                                                                          les Inrockuptibles

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